Ma ville de Quimper


Chef-lieu du Finistère
Région Bretagne (29)
Nombre d'habitants : 67127
Superficie : 8445 hectares
Maire : Alain Gérard
Autres mandats : Sénateur du Finistère
Président de Quimper Communauté
Hôtel de Ville
44, place Saint-Corentin
B.P. 1759
29107 Quimper cedex
Tél. 02.98.98.89.89
Fax 02.98.95.27.93
Courriel : contact@mairie-quimper.fr
n° TVA intracommunautaire : FR 08 212 902 324

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Quimper en quelques mots
et plan de situation de la ville
Préfecture du Finistère, capitale de la Cornouaille, le rayonnement de Quimper va bien au-delà de son statut de ville moyenne. De la Cornouaille historique à la Cornouaille économique, ce vaste territorie situé au sud du Finistère se distingue par son dynamisme et son esprit d'initiative.
Culture, vie associative, loisirs, environnement... l'agglomération quimpéroise est un pôle d'activités attractif. A 15 km des côtes atlantiques, faisant face aux Amériques, Quimper est une ville résolument ouverte sur le monde.
Mariant harmonieusement tradition et modernité, Quimper aborde le troisième millénaire avec l'ambition de devenir une véritable ville européenne
Tout au long de son histoire, Quimper a été à la fois un abri et un lieu de passage. Au fond d'une ria d'une vingtaine de kilomètres, un site vallonné entouré de collines abrite dès l'époque gauloise différents lieux de peuplement sur les hauteurs. La conquête romaine fait de Locmaria au bord de l'Odet et à proximité d'un gué, un lieu urbanisé où s'organise un port.
Les Bretons christianisés, après l'effondrement du monde romain, privilégient un autre centre urbain en amont au niveau du confluent (Kemper : confluent en breton). La puissance du comte de Cornouaille et la naissance du siège episcopal (sans doute vers le IXe siècle) tout en renforçant le rôle de la ville, déterminent une véritable partition du sol entre pouvoir laïque et pouvoir religieux : une ville épiscopale et, sur l'autre rive du Steïr, un faubourg organisé autour d'une place dépendant du duc de Bretagne (la terre au Duc). Sous la même dépendance ducale à Locmaria, une abbaye bénédictine regroupe autour d'elle une petite urbanisation.
La construction de la cathédrale structure la ville au croisement de deux axes de circulation où se rencontrent toutes les activités.
Le XVIe siècle et le rattachement de la Bretagne à la France vont après les guerres de religion modifier cet équilibre urbain. La mise en place de l'administration royale, notamment l'installation du présidial dans la terre au Duc, cherche à concurrencer et à limiter le pouvoir des évêques. Au XVIIe siècle, les ordres religieux liés à la Contre-réforme s'installent eux aussi sur la terre au Duc. A Locmaria, la reconstruction du prieuré va de pair avec le développement des manufactures de faïence (1690).
A partir de la Révolution, Locmaria est rattaché à la commune de Quimper. Le développement du port favorise l'aménagement des quais tandis que le choix de la ville comme chef-lieu du département puis comme préfecture inaugure un siècle de constructions et d'aménagements. La préfecture (1802) et le tribunal (1829) s'établissent à l'extérieur du rempart, le long de l'Odet qui devient l'axe de développement de la ville. A l'intérieur de la vieille ville, mairie(1831) et halles (1843) sont à l'origine de vastes opérations d'urbanisme.
L'arrivée du chemin de fer en 1864 entraîne le prolongement du quai le long du rempart sud. Dans le même temps, les premières implantations industrielles alliées aux lotissements ouvriers au cap Horn en face de Locmaria accentuent le développement de la ville vers l'ouest le long de la rivière.
En 1960, la ville se dote de moyens pour son expansion en s'associant aux communes voisines de Ergué-Armel, Kerfeunteun et Penhars. Le grand Quimper passe alors de 20.000 à 60.000 habitants.
Le port du Corniguel, la Zac de Creach Gwen se développent vers l'ouest, tandis que la route à quatre voies Nantes-Brest suscite une nouvelle extension vers le nord avec la cité administrative de Ty Nay et la zone commerciale de Gourvilly. Les projets actuels tendent à relier tous ces pôles entre eux sans perturber l'équilibre du centre ancien.
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Quimper en photos
La Cathédrale St Corentin vue de la Rue Kéréon
Le chevet de la Cathédrale
La Cathédrale et les quais
Le coeur de la Cathédrale
La Nef
Les tours de la Cathédrale
Palais Episcopal et Jardins de l'Evéché
La chapelle Ti mam doue (maison de la mère de Dieu en breton) est située à Kerfeunteun. Elle était associée à un ermitage qui a disparu au cours du XXe siècle
Eglise de Locmaria
Immeubles du centre ville (XIXè siècle)
Maison à pans de bois, place St Corentin
Le Bagad de Quimper
La place St Corentin
la même place mais avec des animations nocturne
Vue du centre ville (la Tour d'Auvergne)
Un soir d'été ...
Les Halles St François
Le musée départemental breton
Le musée des Beaux-Arts et la mairie
Le nouveau théâtre
Passerelle du Cap Horn
Pont Ste-Catherine
Rue de la Herse
L'Odet, élue plus belle rivière de France
Descente de l'Odet en aviron
Planche à voile sur l'Odet
Campage quimpéroise, idéale pour les promeneurs
Nombreux sentiers à découvrir
Le Frugy...
« Montagne-sur-Odet », le nom que reçoit Quimper à l'époque révolutionnaire se justifie par l'existence d'un escarpement sur la rive gauche de l'Odet. Le Frugy est le poste d'observation par excellence pour embrasser d'un seul regard la ville
Le Steir, rivière au coeur de la ville
Le Square Jean Moulin
Quimper est à 15 km de l'océan Atlantique. En se dirigeant vers le sud, le bord de mer est vite atteint. De là, on prend un bateau pour les Glénan. L'archipel accueille des milliers de visiteurs qui profitent des sables blancs et des eaux transparentes
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Qu'il y fait bon vivre !
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